Bonjour à tous,
Je suis heureux de revenir vers vous pour vous partager un nouveau volet des enseignements que j’intègre graduellement dans ma propre vie. En vérité, le fait de vous les partager m’aide à mieux les comprendre, car cela m’amène à les organiser sous une forme plus compréhensible.
Il existe autant de chemin d’évolution qu’il y a d’humains sur la Terre. Chacun observe la vie à travers le prisme de son propre vécu et de ses expériences, et ce que nous nommons l’évolution est en fait l’accumulation de cette sagesse acquise au cours de notre parcours de vie (qui comprend bien sûr les vies passées). En cours de route, les situations que nous expérimentons nous permettent de mieux nous connaître, car les états qu’elles soulèvent nous poussent à l’introspection.
Quand nous observons notre vie, la plupart d’entre nous considérons être plus sage aujourd’hui que nous ne l’étions il y a de cela quelques années. Nous connaissons une progression naturelle qui fait en sorte que nous apprenons de nos expériences, grandissant ainsi en sagesse et en conscience à chacun de nos pas.
Les êtres que nous rencontrons sur notre chemin nous permettent de mieux nous observer, car ils nous reflètent ce qui, de nous, cherche à être stimulé, éclairé. Tant ce qui nous fascine d’eux que ce qui nous irrite nous parlent de nous. Dans tous les cas, nous les attirons consciemment, ou inconsciemment, afin de servir notre évolution.
L’engagement concret
Personnellement, je situe la ligne qui sépare le «touriste spirituel» de l’être véritablement engagé sur son parcours d’évolution au niveau de sa capacité à se responsabiliser. Croire en la vie après la vie et à l’invisible est une chose. Mais comprendre et accepter vraiment que tout ce que l’on vit sur Terre, de l’événement le plus joyeux au plus malheureux, est créé par nous, consciemment ou inconsciemment, est beaucoup plus engageant.
Cette vision de la vie est heurtante et plusieurs préfèrent ne pas la contempler, car elle remet en question un fonctionnement profondément ancré dans nos sociétés. Nous sommes attachés au concept que le bien s’oppose au mal et qu’il faille nous en protéger, évacuant du même coup l’idée qui suggère que nous portions ces deux facettes en nous.
Nous avons tous été bourreaux, victimes, traitres, trahis, voleurs, volés, etc. Mais plus nous combattons nos propres ombres, ces expériences que nous préférerions oublier, plus elles s’amplifient, car nous les privons de notre lumière. Face à cette vision dualiste de la vie, nous avons collectivement préféré nous conditionner à croire que nous étions petits, vulnérables, impuissants et victimes des autres et du système dans lequel nous vivons, que nous associons aux agresseurs.
Pour plusieurs, nourrir la sensation d’impuissance est un mode de vie, une idée difficile à abandonner, car elle apporte aussi des bénéfices concrets, à commencer par celui d’entretenir une forme de culpabilité existentielle enfouie dans l’inconscient. «J’ai déjà eu du pouvoir dans une autre vie et puisque je l’ai mal utilisé, je préfère ne plus en avoir. Ce sera ainsi plus simple à gérer».
Mais lorsque nous acceptons de considérer l’extérieur comme une projection holographique de notre univers intérieur, il devient plus facile d’évoluer. Nous comprenons alors que nous ne sommes jamais victimes, car c’est toujours notre sagesse divine qui attire à nous les situations, afin de nous faire grandir. Nous apprenons ainsi à nous connaître en observant les états intérieurs qu’elles soulèvent en nous.
Remettre en question les idées d’impuissance est un pas majeur que tous les spiritualistes sérieux doivent accepter de franchir un jour ou l’autre sur leur parcours, s’ils veulent retrouver leur pouvoir.
Des scénarios répétitifs
Si nous observons notre vie, nous constatons que certains scénarios semblent se répéter, se reproduire en boucle, alors que d’autres ne se vivent qu’une seule fois. Via ma pratique d’accompagnant individuel, je me suis questionné sur ce processus qui fait en sorte que l’intégration puisse varier autant d’un individu à l’autre, d’une situation à l’autre. Quels sont donc les facteurs qui soutiennent l’apprentissage d’une connaissance, et ceux qui la limitent?
Je me dois ici de préciser que je ne parle pas d’individus, mais bien de situations. En vérité, il y a des personnes qui intègrent facilement un certain type d’expérience, tout en répétant d’autres scénarios dans leur vie. Ce qui est difficile à intégrer pour un peut ne pas l’être pour l’autre, et vice-versa.
Nous pourrions tous pointer des zones de notre propre évolution où l’intégration nous semble plus difficile. Certaines situations nous marquent plus que d’autres, et parfois, sans comprendre réellement pourquoi, nous ressentons toujours un malaise lorsque nous y repensons. L’idée ici n’est donc pas de comparer les qualités évolutives des uns par rapport aux autres, mais d’observer que parfois, certaines expériences nous sont plus difficiles à gérer, même si nous acceptons d’en être les créateurs. Il ne s’agit donc pas ici de chercher à identifier des profils de personnalités, mais de comprendre le processus qui facilite l’apprentissage en profondeur, et ce qui le limite.
La trinité
J’ai souvent mentionné dans mes écrits l’importance d’habiter le corps pour retrouver son pouvoir dans l’incarnation. À plusieurs reprises, j’ai mentionné que l’Âme se relie au corps via le centre du Hara (situé sous le nombril) et que l’Esprit se connecte via le 3 e œil. Le chakra du cœur est le point de rencontre de l’Âme et de l’Esprit dans l’incarnation. Ce que les Maîtres nomment le Christ est en fait la rencontre de la trinité Âme-Esprit-Corps au centre de notre être incarné, dans le chakra du cœur. Tout ce qui est exprimé à partir de la sensation du Christ en nous est reçu par l’Univers comme une commande à manifester. Voilà en des termes simples le sens spirituel de la trinité que nous sommes.
Maintenant, qu’est-ce que cela a à voir avec le processus d’intégration mentionné précédemment? En réalité, si le pouvoir de notre divinité passe par notre capacité à amener dans notre corps physique notre énergie christique, il en va de même pour tout ce qui permet à notre Âme-en-voyage-sur-Terre d’évoluer. En vérité, l’Âme acquiert sa sagesse lorsque la conscience accepte de RESSENTIR une expérience DANS LE CORPS PHYSIQUE. C’est à travers les émotions / sensations reliées aux expériences que l’évolution peut se faire, car l’Âme intègre alors vibratoirement la leçon, puisqu’elle en comprend les implications.
Lorsque l’Âme RESSENT une expérience, elle la classe ensuite dans la catégorie «complétée». Pour donner une image simple, c’est comme si elle la cochait de sa liste des apprentissages à accomplir dans l’incarnation. La leçon est apprise, il n’est alors plus nécessaire de la reproduire. Mais tant qu’elle demeure un concept, une idée dans l’intellect, elle se situe dans la catégorie «à expérimenter». C’est à partir du moment où ce qui est vécu est pleinement ressenti dans le corps physique que cela se transforme en sagesse, en connaissance acquise intérieurement.
Concrètement, nous pourrions donner l’image d’une expérience que nous acceptons de «descendre» dans le corps, pour en ressentir les sensations. Il n’y a rien à faire, rien à dire, il n’y a qu’à se laisser toucher par l’énergie de ce qui est vécu. Tout simplement.
Ce processus ne requiert aucune évaluation, aucun jugement à poser. Nous n’avons pas à nous demander si l’expérience était juste, qui avait raison, qui avait tort, était-ce une erreur, un faux pas, une réussite, quoi faire pour s’en libérer. Il n’y a rien à transformer, rien à modifier. Il n’y a qu’à accepter de RESSENTIR CE QUI EST dans le corps physique. Voilà tout.
Acquérir la sagesse
Lorsque certaines situations éveillent des émotions, celles-ci seront plus spécifiquement ressenties comme une charge au niveau du plexus solaire, centre situé sous le cœur (c’est par là que passent les émotions). Il est alors fondamental d’accepter de les ressentir. Les émotions retenues sont à l’origine de tous les maux humains, car le corps n’a alors d’autre choix que de les emmagasiner dans les cellules, ce qui l’amène à se dérégler. Apprendre à vivre ses émotions, c’est apprendre à vivre.
Qu’il y ait de grandes charges émotionnelles ou uniquement de petites sensations reliées à une expérience, dans tous les cas, c’est le fait d’accepter de se laisser toucher par elle et de laisser son corps vibrer en sa présence qui permet à notre Âme d’en acquérir la sagesse. Quand nous acceptons de ressentir pleinement les émotions / sensations reliées à l’expérience, celle-ci s’intègre en nous.
À la lumière de cet enseignement, il devient clair que la résistance à ce qui est, le fait de vouloir «défendre son point pour avoir raison» par exemple, ne permet pas une véritable évolution. Car s’il y a une envie de se justifier, c’est nécessairement parce qu’il y a une charge émotionnelle qui est reliée au fait d’être contrarié.
Mon point ici n’est pas de suggérer de tout accepter sans jamais se positionner. Mais avant de vouloir le faire, il est fondamental d’accepter de RESSENTIR CE QUI EST. Et dans le contexte décrit ici, «ce qui est» est associé à une émotion de contrariété, au fait que notre façon de voir les choses soit remise en question. En soit, cela est d’abord une sensation à ressentir dans le corps physique.
Je vois souvent des gens qui restent coincés dans des conflits personnels ou des situations contraignantes, car ils demeurent attachés au fait de vouloir avoir raison. Je comprends le mécanisme du mental qui repasse le scénario en boucle pour découvrir les failles de «l’adversaire», mais en vérité, c’est notre propre égo qui est contrarié. Cela remet en question notre vision des choses, challenge notre perception de la vie. Mais si nous voulons transformer la situation, il faudra d’abord accepter de la ressentir pleinement. Dans ce cas-ci, nous voudrons ressentir la sensation de contrariété. Par la suite, les idées se clarifieront d’elles-mêmes et il deviendra plus aisé de présenter son point (si toujours souhaité), qui lui, sera entendu par l’autre. Le combat laissera place aux échanges et à un réel partage.
L’intellect
Les êtres qui ont l’habitude d’utiliser leur intellect pour tout évaluer limitent leur évolution, car ils s’empêchent de «ressentir» les expériences qu’ils vivent. Ils utilisent le bagage mental accumulé au cours de leur vie pour définir ce qu’ils expérimentent et s’en servent pour classer les choses intérieurement (expérience bonne, mauvaise, troublante, etc.).
L’intellect nous permet de concevoir la vie et de fonctionner sur Terre. Il nous est nécessaire. C’est via son fonctionnement équilibré que nous arrivons à emmagasiner des informations, que nous pouvons par la suite utiliser selon des critères de pertinence. Le mental est en quelque sorte le «relais de l’Esprit». Mais dans tous les cas, c’est lorsque l’Âme-en-voyage-sur-Terre ressent l’idée envisagée que celle-ci devient une connaissance, un élément de sagesse intérieure.
Nous avons mentionné que le fait d’habiter pleinement le corps était le premier élément à considérer pour retrouver son pouvoir dans l’incarnation. Comprenons maintenant que c’est précisément cela qui permet d’amener la sensation de l’expérience vécue en soi. En d’autres termes, lorsque nous acceptons de ressentir pleinement une situation, de la laisser «descendre» dans notre corps, elle devient une connaissance pour notre Âme. Elle contribue alors à la sagesse du voyageur terrestre que nous sommes.
Avant même de chercher à donner un sens rationnel à une situation, c’est le fait d’accepter de la ressentir dans le corps physique (lorsque nous l’habitons pleinement) qui permet à notre Âme – qui est aussi un aspect de ce que nous sommes, faut-il se le rappeler – de s’en imprégner totalement. C’est ainsi qu’elle peut ajouter cette nouvelle connaissance à son vécu. Si l’expérience était agréable, l’être pourra alors choisir de la reproduire, ou sinon, de «passer à autre chose». Mais il n’y aura plus de nécessité de le revivre, car la leçon aura été apprise et intégrée.
L’observation de ce processus m’a amené à comprendre que lorsqu’une situation est répétée, c’est parce que l’Âme ne l’a pas encore intégrée. Inconsciemment, l’être voudra la reproduire, car la leçon demeurera incomplète et son apprentissage sera limité. On pense que l’être y est attaché et qu’il s’y accroche, mais le magnétisme s’opère souvent à un niveau plus subtil. En vérité, c’est l’Âme qui continue d’attirer à elle la situation, dans le but de favoriser une évolution. Elle le fera jusqu’à ce que la leçon soit comprise, ressentie, intégrée. Et le tout se fait inconsciemment.
Un modèle relationnel
Prenons l’exemple ici d’une femme qui attire à elle des hommes violents (physiquement ou verbalement). C’est un pattern facile à observer de l’extérieur, car lorsque l’une de ces relations se termine, il semble souvent qu’une autre, similaire, prenne le relais.
Quand nous observons ces scénarios de l’extérieur, nous nous questionnons souvent sur le pourquoi de ces répétitions, comme si ce modèle relationnel était le seul possible pour les personnes impliquées. Parfois, même quand la femme est convaincue que le nouvel amoureux est différent, elle découvre graduellement ses aspects plus sombres. Si elle n’est pas attentive, il sera même tentant pour elle de conclure que les hommes en général ont une nature violente, puisque «ses lunettes», teintées de ses propres conditionnements, lui en font voir partout.
Pour le spiritualiste éclairé qui observera cette dame, le premier constat sera de constater qu’elle attire à elle ce qui aura été jugé intérieurement par le passé. C’est ainsi que se met en branle un mécanisme universel de magnétisme qui vise à favoriser son évolution. Par une envie d’éclairer ce qu’elle juge d’elle-même, elle l’attire extérieurement, pour mieux le contempler. Ce mécanisme est continuellement en action, que nous y participions consciemment ou non.
Observant cela, il devient pourtant difficile de comprendre pourquoi la dame continue de tolérer un tel traitement, après en avoir pris conscience (supposant qu’elle en soit consciente). Son acceptation tacite fait en sorte que l’homme en question semble autorisé à poursuivre ses agressions, qui semblent obtenir l’accord de tous. Pour la dame, c’est comme si l’idée de s’y opposer la paralysait. C’est là qu’il devient intéressant d’amener l’observation à un autre niveau.
Un pas vers l’allègement
Dans un premier temps pour cette femme, si elle cherche à se libérer de la situation, il lui faudra d’abord accepter de ressentir totalement la détresse qu’elle vit, sa sensation d’impuissance. Nous comprenons que ce ne soit pas la réalité, puisque nous sommes souverains et créateurs de notre vie. Mais pour la transformation de cette expérience, il sera fondamental d’accueillir tous les aspects impliqués, et la sensation d’être victime (d’un agresseur) en fait définitivement partie.
À cette étape de la transformation, il faut oublier les concepts spirituels, pour uniquement se focaliser sur les éléments de l’expérience. Cela débute donc par un premier constat d’impuissance que la femme est invitée à ressentir en totalité, en acceptant de le laisser «descendre» dans son corps.
Après quelques secondes de sensation, en contact avec cet état, un premier allègement se fera sentir, comme si les cellules captaient la nouvelle connaissance reliée à l’expérience d’impuissance, de victime. Une fois ressentie, l’Âme-en-voyage-sur-Terre intègre la connaissance et est prête à «passer à l’étape suivante», puisque la sagesse est alors acquise.
Il est clair que ces expériences sont complexes et incluent plusieurs nuances et subtilités. Il ne s’agit donc pas ici de chercher à appliquer une méthode pour simplifier le processus. L’invitation est plutôt de comprendre que chacune des prises de conscience doit s’accompagner d’un moment d’intériorisation, pour bien les ressentir. Il devient alors possible de progresser dans la situation, d’avancer pas à pas, et nous sentirons que nous évoluons vraiment vers une résolution.
L’évolution
En poursuivant avec notre exemple, une prochaine étape pour cette dame sera d’accepter d’observer le reflet qui lui est présenté par son agresseur. Cette phase est souvent celle qui offre le plus de résistance, car socialement, nous sommes conditionnés à nous tenir loin de ce qui nous perturbe, de ce que nous jugeons. Mais c’est précisément là la clé de la transformation en profondeur. Car à une étape ou une autre du processus, il faudra reconnaître que l’autre est une partie de soi. Nous le jugeons précisément parce qu’il représente un aspect de nous jusqu’ici maintenu dans notre ombre.
Lorsque la dame accepte vraiment de ressentir son «agresseur intérieur», elle permet à son Âme d’intégrer tous les apprentissages que cette expérience passée lui aura apportés. Il n’y a rien à faire, rien à dire, il faut juste accepter de le ressentir. Au lieu de juger son vécu en s’imaginant devoir «devenir pure pour compenser ses impuretés», elle intègre les leçons de ses expériences et permet à son Âme de grandir en sagesse et en conscience. C’est ce processus que nous nommons l’évolution.
La méthode Hoponopono, qui suggère de considérer «je suis responsable» comme moyen d’entrer en relation avec les déséquilibres extérieurs, est basée sur cette idée que ces derniers soient des reflets de nos propres déséquilibres. Il n’est pas nécessaire de faire des régressions dans les vies passées et de tout comprendre pour les pacifier. Il faut juste accepter que ce qui nous perturbe extérieurement soit un reflet de ce que nous n’avons pas encore pacifié de nous. En acceptant cette idée et en nous «laissant traverser» par les éléments perturbateurs, nous changeons notre regard sur eux. Ce qui est jugé est alors transformé en sagesse, car nous acceptons de le ressentir, de nous en imprégner.
L’Âme-en-voyage-sur-Terre
Que ce soit une sensation de culpabilité ou de honte, une peur, un déséquilibre, une expérience difficile, un élément extérieur qui est jugé, un traumatisme, une situation troublante, etc., c’est lorsque nous acceptons de les RESSENTIR PLEINEMENT DANS NOTRE CORPS PHYSIQUE, sans aucun jugement ni tentative de les présenter sous un meilleur jour, que notre Âme-en-voyage-sur-Terre intègre les leçons qui y sont associées.
L’intellect permet d’organiser notre quotidien et d’envisager la vie à travers un regard éclairé. Mais il est limité lorsqu’il sert à décortiquer une expérience vécue, puisque celle-ci reste dans le mental et n’est pas pleinement ressentie. En d’autres termes, avant de chercher à intellectualiser une situation, chacun est invité à entrer dans son cœur sacré, au centre de son être, pour y ressentir l’expérience.
Il n’y a rien à faire, rien à dire, rien à transformer. La seule invitation est de s’associer pleinement à la situation et de laisser notre être profond vibrer en sa présence. C’est à ce moment qu’elle s’inscrit en nous comme une connaissance que l’Âme-en-voyage-sur-Terre ajoute à son bagage. Les leçons de vie apprises servent alors de base pour créer une autre réalité plus expansive et joyeuse, rehaussée par la nouvelle sagesse acquise. Et à ce moment, l’Âme peut vraiment «passer à autre chose».
Enseignement à contempler
Je suis conscient qu’à la lecture de ce partage, plusieurs se demanderont s’ils «ressentent bien» les choses, s’ils le font correctement. En prenant le temps de contempler cet enseignement, votre Âme saura vous guider à l’intégrer.
Souvenez-vous qu’une sensation demeure une expérience simple, quand on reste en contact avec son corps. En vous présentant cet éclairage, je ne souhaite pas vous amener à l’intellectualiser, mais plutôt à stimuler le contact avec les sensations qui sont déjà continuellement présentes dans le corps physique.
En soit, un coucher de soleil n’est pas reposant. Ce sont les sensations apaisantes qui s’élèvent en nous en sa présence qui le sont. L’harmonie extérieure éveille une paix intérieure et c’est à partir d’elle que nous pouvons définir ce que nous observons.
La paix est une sensation, tout comme la joie, le rire, la tristesse, etc. Les sensations sont continuellement présentes dans l’incarnation. Celles plus légères sont simples à contacter, mais TOUTES LES SENSATIONS font partie de l’expérience terrestre. Pas uniquement celles que nous souhaitons prioriser. Pour évoluer, il faut s’y connecter et accepter de toutes les ressentir. Voilà le sens de ce propos.
Je suis heureux d’avoir pu partager avec vous cet autre volet des enseignements et de mon vécu personnel. Sur ce, je vous salue et vous souhaite un futur béni, sachant qu’il prend naissance au présent.
Salutations à tous
Simon Leclerc
… au service de la Grande Fraternité Humaine et Universelle
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Écrit le 22 janvier 2017, par Simon Leclerc (www.rencontredelame.com)
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